Un Été À La Campagne 3
Jai finalement décidé de faire un petit montage vidéo avec mes trois vues, de quelques minutes, ne gardant que les moments les plus significatifs des ébats des deux compères.
Jen ai fait parvenir à chacun une copie, avec un petit mot : « rendez-vous à lhôtel Z, chambre 215, dans la ville de G. le 24 août prochain (à 22h30 pour lui, 22h45 pour elle). Si vous nêtes pas là, des photos seront envoyées à vos proches. Ne prenez plus contact avec votre amant(e) à partir de maintenant, qui nest pas au courant. Prévoyez de passer la nuit sur place. Montez directement à la chambre en arrivant, sans passer par la réception».
Javais laissé quelques jours de battement pour quils sorganisent. Je les épiais pendant ces quelques jours. Visiblement, ils semblaient chacun un peu inquiet, et surtout à lidée que lautre les contacte. Bien sûr, il ny avait pas de risque !
Le jour dit, javais donc réservé une grande chambre dans un des beaux hôtels de G., suffisamment loin de C. pour quils ne soient pas connus.
Javais repéré que de la salle de bain, on pouvait voir dans la chambre sans être vu. Je métais caché là.
A 22h30 précises, le maire est entré dans la chambre, regardant autour de lui sil voyait quelquun. Javais prévu un petit haut-parleur.
- Bonjour Monsieur le maire, bienvenue. Obéissez-moi et tout se passera bien.
- Qui êtes-vous, petit salaud, montrez-vous que je vous casse la gueule.
- Ne vous énervez pas, vous allez bientôt avoir de la visite, alors ne perdez pas de temps. Déshabillez-vous, asseyez-vous dans le fauteuil dans le coin et prenez le bandeau sur laccoudoir pour masquer vos yeux. Je veux que vous ne puissiez rien voir.
- Tu ne perds rien pour attendre, mon gars, ce que tu fais est dégueulasse.
- Mais non, vous verrez, ne soyez pas si tendu, tout va bien se passer. Faites ce que je vous dis. Vite ! Ma voix était devenue plus directe, un peu menaçante.
Gérard sest foutu à poil et sest assis comme demandé.
A peine était-il assis que Louise pénétrait dans la chambre, lair aussi préoccupé.
- Entrez, faites juste un pas et taisez-vous. On vous attend et on ne doit pas vous reconnaître de suite. Tous les deux, taisez-vous tant que je ne vous autorise pas à parler. Sinon, les vidéos seront chez René dès demain matin. Faites un geste de la tête pour me dire que vous avez compris.
Louise et Gérard ont obtempéré.
- Cest bien, vous comprenez vite. Maintenant, invitée n° 2, déshabillez-vous totalement et mettez le bandeau qui est à côté de vous sur vos yeux.
Elle sest désapée.
- Cest bien, vous ne voyez rien et la personne qui vous attend non plus.
- Avancez de deux pas. Tournez-vous vers la droite, cest bien, faites deux pas. Là, stop !
- Premier invité, prenez votre queue dans votre main droite. Branlez-vous un peu pour faire durcir votre bel engin.
- Invitée n° 2, vous venez de comprendre que cest un homme qui vous attend. Agenouillez-vous. Là, oui, avancez un tout petit peu. Parfait.
- Penchez la tête. Oh, mais oui, cest bien une bite qui ouvre vos lèvres. Prenez-là dans votre bouche et sucez-la.
- Bien, bien, vous êtes une bonne suceuse, cette queue vous plaît ? Vous avez le droit de me répondre en continuant de sucer.
- MMMM, mais cest la bite de Gérard, je la reconnais, il ny en pas deux comme elle !
- Mais oui, cest bien elle. Et vous Gérard, vous reconnaissez qui vous suce ?
- Cest Louise, petit saligaud, je reconnais son talent !
- Eh bien puisque vous vous êtes reconnus et que je sais que vous aimez baiser, allez-y, mais sans enlever vos bandeaux.
Louise sest relevée, cherchant le visage de Gérard de ses mains. Puis elle sest approchée et la embrassé goulument.
- Faisons ce quil dit, après tout, nous aimons ça non ?
- Oui, mais là, cest un peu spécial non ?
- Et alors, visiblement, il nous a déjà vus, donc il sait tout.
- Tu as raison. Suce-moi encore.
Louise a repris la hampe et sa fellation, les grognements de Gérard ont commencé à se faire entendre.
Quand jai senti quils allaient bientôt moublier, jai dit :
- Stop, Louise. Relevez-vous, tournez-vous sur la gauche, avancez jusquà toucher le lit. Puis mettez-vous dessus à quatre pattes.
- Gérard, rejoignez-là et quand vous toucherez le sommier, prenez-lui son cul et fourrez-y votre langue.
Peu après, javais une vision du postérieur de Louise offert aux assauts du maire, qui prenant à cur mes instructions, lui mouillait copieusement la raie, lanus, la chatte. Je commençais à bander sérieusement.
- Bien, cest très beau ce que vous faites, je vois que vous y prenez du plaisir, cest fait pour !
- Tu es un enfoiré, mais je reconnais que cela mexcite de sucer Louise les yeux bandés.
- Et moi, jadore que tu mhumidifies la raie ainsi.
Je les ai laissés un petit moment, je les voyais très excités maintenant.
- Gérard, tu vas monter sur le lit par le côté, tallonger sous Louise, et venir la baiser maintenant.
Il sest mis en position, a attrapé les hanches de la boulangère, la pénétrée dun coup et a entamé son va et vient.
Louise couinait de plaisir sous les assauts du maire.
- Vous pensez bien tous les deux que je ne vous ai pas fait venir juste pour vous mater ! Je vais en profiter un peu moi aussi, mais si vous enlevez vos bandeaux, je diffuse la vidéo, vu ?
- Oh, Gérard, laissons le faire, je suis super excitée, et je nai jamais eu deux hommes pour moi.
- Il mexcite bien aussi ce morpion, allez, vas-y.
Je suis sorti de la salle de bain, mon membre dur en avant, me suis approché du lit, suis monté dessus. Javais le trou de Louise sous les yeux. Jai craché dessus pour lhumecter, et posé mon gland au bord.
- Gérard, il va menculer ! Oh, une double pénétration, jen rêve depuis que je suis adolescente ! Oui, encule-moi, que je sente vos deux gourdins.
- Puisque madame le demande, a souri Gérard.
Alors jai pénétré dans Louise, mon chibre a passé lanneau puis sest enfoncé dans ce postérieur magnifique.
Louise est venue autant que possible à ma rencontre, pendant que Gérard attendait que je sois installé pour reprendre son coït.
- Ahhhh, il est au fond ! Gérard, il a une belle queue aussi notre bourreau, pas aussi grosse que la tienne, mais il me remplit bien.
- Je le sens aussi. Tu es prête pour le grand jeu ?
- Ouiiii, allez-y, bourrez-moi bien tous les deux.
Et la chevauchée sauvage a débuté. Ce nétaient plus quahanements, grognements, cris de plaisir.
La boulangère écartelée nen pouvait plus.
- Ahhh, cest bon, vos pieux me transpercent, ouiiiiiiii, aaaaaaaaaaah, au fond, tous les deux, ouiiiiiiiii, aaannn, baisez-moi, enculez-moi, oh, encore
..
A chaque fois que je sentais le jus monter, je ralentissais pour profiter encore de ce derche. Sentir que je donnais du plaisir à ces deux-là était en soi aussi jouissif que de profiter du fondement convoité.
Au bout dun quart dheure, jai senti Gérard se contracter pour lâcher sa purée, alors jai accéléré ma cadence pour le rejoindre. La boulangère est partie dans un long râle et nous nous sommes tous les deux vidés dans ses entrailles.
Louise sest écroulée sur Gérard, et moi sur elle, puis jai glissé à côté deux.
- Alors, les amants de C., on se dévergonde à ce que je vois.
- Salopard, tu nous as bien fait jouir avec tes conneries !
- Mais oui, Gérard, et ce nest pas fini, tu vas voir. Mais reposons nous un peu.
Je leur ai servi un jus de fruit, quelques biscuits. Ils étaient toujours aveugles mais ne sen formalisaient plus, soumis au jeu que javais imaginé.
- Bon, on va reprendre, mes amis. Louise, il faut me rendre dur à nouveau. Venez me sucer.
Elle sest approchée tant bien que mal, me cherchant à tâtons, puis une fois lobjet trouvé, la embouché divinement.
- Gérard, pendant ce temps-là, allez-vous étendre sur le dos sur le lit, les jambes pendantes vers le sol.
- Quest-ce que tu veux faire toi ?
- Silence, Gérard, tu sais maintenant que je suis là pour votre plaisir et vous faire dépasser quelques limites. Ce que Louise à bien apprécié je crois.
- Gérard, fais ce quil dit, au point où on en est !
Gérard sest installé, et Louise a repris sa succion sur ma tige, lui redonnant de la vigueur. Un fois raide, jai aidé Louise à se relever, à monter sur le lit, et à poser sa belle foufoune sur le nez de Gérard.
- Tu sens cette moule qui nattend quune chose, Gérard ? Ne la fait pas attendre.
Il a sorti sa langue pour laper la fente.
Moi jai pris un peu de gel et jai commencé à masser la queue et le petit illet de Gérard.
- Eh, quest-ce que tu fais, je ne suis pas homo moi.
- Mais non, pas besoin dêtre homo pour aimer se faire enculer. TU vas voir, cest divin.
- Non, non, mais non !
- Louise, expliquez-lui quil na aucune chance dy échapper.
- Gérard, sois sage, tu mencules bien toi, alors pour une fois tu vas comprendre pourquoi il faut y aller en douceur. Et puis cela mexcite à mort de penser quil va tenculer.
- Tu vois, Gérard, sois un bon garçon.
Vaincu, il ma laissé lui enduire le trou de lubrifiant et lui relever les jambes pour que je puisse mapprocher. Il a bien eu un petit recul quand jai posé ma bite sur son trou, mais finalement, je suis entré en lui comme dans du beurre.
- Dis donc, cest pas trop serré par ici, tu es sûr que tu nas jamais inséré dobjet dans ton cul ?
- Euh, cest vrai, cela marrive de temps en temps
- Gérard, mais tu es encore plus cochon que jimaginais, à rit Louise, tu vas voir, je vais tenculer aussi moi la prochaine fois.
- Je nosais pas te le demander, je suis le maire quand même
Les laissant à leurs constatations, jai limé le conduit de Gérard, allant bien lui chatouiller la prostate, ressortant et le pénétrant à nouveau fortement.
Javais pris son mandrin en main et le branlais tout en lenculant.
Jétais vraiment aux anges, ma bite au chaud, les seins énormes de Louise palpitant devant moi, et une belle asperge à astiquer.
Tant et si bien quà force, Gérard a giclé sur son ventre, Louise, mouillant tant et plus a lâché un flot de mouille sur le nez de son amant, et moi jai enduit de foutre lintérieur de Gérard.
- Merci, mes amis, merci pour ce doux moment. Vous avez suivi mes instructions à la lettre, vous avez été épatants, jai joui comme rarement, aussi, maintenant, vous pouvez être tranquilles, les vidéos resteront pour toujours dans mon ordinateur. Je vais vous laisser.
Vous avez la nuit devant vous pour partager encore plein de choses.
Je crois que cétait une demande de Louise davoir un long moment pour vous deux.
Je vous loffre
Adieu
.
Je me suis rhabillé. Au moment de fermer la porte de la chambre, je les ai entendus me dire ensemble : Merci monsieur linconnu.
Ce fut un bel été, vraiment. La routine du boulot a repris, alors quand jai un peu le blues, je vais sur mon PC et je revois ce doux moment.
Ah, oui, parce que là aussi javais mis des caméras.
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